Comment faire son mémoire au dernier moment : conseils et astuces ⏰

La rédaction d’un mémoire de fin d’études est une étape primordiale dans le cursus de tout étudiant. De plus en plus, l’on se rend compte que de nombreux étudiants ont du mal à soumettre leur document dans les délais. Cela peut s’expliquer par le fait que plusieurs commencent à faire leur mémoire au dernier moment. Quels en sont les risques et comment l’éviter, nous abordons la question dans cet article.

Dans le souci de respecter le calendrier académique, les universités fixent en général un délai pour le dépôt des projets. Malheureusement, de nombreux étudiants ont de la peine à se conformer à ces délais.

Lorsque vous posez la question, vous entendez des réponses du genre « je n’arrive pas à écrire mon mémoire », « je ne sais pas comment structurer mon document », etc. L’expérience a démontré qu’il existe plusieurs causes à ce phénomène.

C’est l’un des problèmes majeurs à l’origine du retard dans la rédaction de travail de fin d’études. Les étudiants ont parfois du mal à trouver ne serait-ce qu’un sujet pertinent. Et quand bien même il est trouvé, ils ont du mal à faire une bonne structuration. Cela amène malheureusement l’étudiant à faire son mémoire au dernier moment.

La procrastination désigne le fait de renvoyer au lendemain quelque chose que l’on peut faire le jour même. Et c’est malheureusement une mauvaise attitude que l’on retrouve chez plusieurs étudiants.

Il est nécessaire de comprendre qu’en termes d’écriture de mémoire, il n’y a jamais trop de temps. Par conséquent, nous vous recommandons de vous discipliner au maximum afin de faire chaque chose en temps et en heure.

Là aussi, c’est une véritable gangrène que l’on retrouve chez plusieurs étudiants. Entre école, vie de famille, vie sociale, de nombreux étudiants ne réussissent pas à faire la part des choses, ce qui est une grave erreur. Vous devez apprendre à gérer votre temps, de manière à consacrer un temps de qualité pour la rédaction.

Le projet de fin d’études est un défi intellectuel qui requiert le maximum de concentration. Cependant, certains étudiants ne peuvent pas se plonger dans leur travail pendant de longues périodes et finissent par sombrer dans la distraction. Ce manque de concentration perpétuel aura en fin de compte un impact considérable sur la réalisation complète du document.

C’est un secret de Polichinelle, la rédaction du mémoire est une grande source de stress chez les étudiants. Parfois, même les plus brillants ne parviennent pas à contenir ce stress. Celui-ci est très souvent dû à l’enjeu de ce projet sérieux. Cependant, il est important de le canaliser afin de travailler sereinement.

Pendant qu’ils poursuivent leur formation académique, certains étudiants ont des engagements professionnels dans des entreprises publiques et même privées.

Cela constitue également un frein à la création du document. Et là, nous revenons à la gestion du temps. Dans ce cas, vous devez organiser votre travail de manière à ne pas négliger la rédaction du mémoire.

Rédiger son travail au dernier moment expose l’étudiant à de nombreuses conséquences. La principale conséquence, c’est le fait de ne pas valider son mémoire. Comme vous le savez, la validation est essentielle pour l’obtention du diplôme. Alors, lorsque celui-ci n’est pas soumis à temps, cela veut dire que vous n’aurez pas droit à la soutenance et par conséquent, vous ne pourrez pas obtenir le diplôme. Certes, vous pourrez vous présenter pour la session suivante après avoir obtenu une autorisation, mais cela aura clairement une grande incidence sur la suite de votre parcours.

C’est pourquoi il est essentiel de tout mettre en œuvre pour rédiger son mémoire rapidement. L’une des techniques les plus efficaces pour le faire, c’est le rétroplanning. C’est une technique qui consiste à planifier des actions en fonction d’une deadline ou date limite. Cela vous aidera à mieux vous organiser en prenant en compte l’échéancier fixé par l’université.

Il faut noter avant tout que l’écriture proprement dite nécessite un certain nombre de préalables : le choix du sujet, l’élaboration d’une problématique de recherche, la définition des objectifs de la recherche, les enquêtes de terrain, les analyses, l’élaboration du plan, etc. C’est en général après avoir réalisé toutes ces étapes que peut commencer la rédaction effective du mémoire.

En général, les mémoires de niveau BTS et licence oscillent autour de 40 à 50 pages. Après avoir réalisé tous les préalables dont nous avons parlé plus haut, la rédaction d’un tel projet par un étudiant peut se faire en un mois environ.

Cela nécessite toutefois de la rigueur et de la discipline à la fois dans la gestion du temps, mais aussi dans la recherche. Vous devrez dans ce cas vous documenter au maximum, afin d’obtenir des sources fiables pour l’argumentation de votre document.

En réalité, tout dépend du volume et du contenu. Comme nous venons de le voir, les mémoires en niveau BTS et licence ne sont pas très volumineux. Dans de tels cas, vous pourrez effectivement écrire votre travail en un mois.

Cependant, si le contenu est un peu plus volumineux (comme c’est le cas de master), cela demandera bien évidemment plus de temps pour réaliser les choses selon les règles de l’art.

À l’aide de l’IA ou d’une agence, il est tout à fait possible de rédiger un mémoire de 30 pages en un jour. Cependant, nous vous recommandons d’opter pour une plateforme en ligne au vu des raisons que nous avons évoqué plus haut.

Écrire son mémoire à la dernière minute n’est pas une tâche aisée, au vu de la pression énorme. D’ailleurs, même dans des conditions normales, la rédaction requiert beaucoup d’efforts et de sacrifices.

Toutefois, avec un peu de volonté de confiance en soi, vous allez pouvoir faire votre mémoire rapidement. Dans cette section, nous vous donnons quelques astuces pour y arriver.

Le choix du sujet est fondamental lorsqu’il s’agit de mémoire. Cependant, à côté du sujet, il y a un élément très important qu’on appelle la problématique. Ainsi, après avoir choisi votre thème, vous devrez élaborer une problématique pertinente qui permettra de circonscrire le sujet.

Soyez le plus méticuleux lors de l’élaboration de la problématique, car en réalité c’est le fil conducteur du document. En effet, c’est la problématique qui donnera une certaine orientation au plan du mémoire, aux enquêtes de terrain, etc.

Une fois la problématique définie, nous vous recommandons d’élaborer un plan détaillé du mémoire. Celui-ci devra prendre en compte l’introduction, le développement et la conclusion. Pour ce qui est du développement, il est à noter qu’il se divise en plusieurs parties et chapitres.

Lors de l’élaboration du plan, assurez-vous d’établir une bonne connexion entre les différentes parties, et entre les différents chapitres. Toutefois, le plan établi n’est pas forcément statique. Vous pourrez en effet l’ajuster en cours de route si et seulement si cela s’avère nécessaire. Lorsque tout est bien pensé, l’organisation du travail devient beaucoup plus facile.

L’une des principales parties du développement dans un mémoire, c’est le cadre théorique. C’est une partie qui consiste à effectuer des recherches dans le but de théoriser et conceptualiser les principaux mots clés contenus dans le sujet. Pour cela, vous serez appelé à consulter des ouvrages académiques de différentes natures. Il est crucial de faire une recherche pointue, afin d’avoir une meilleure connaissance des travaux antérieurs déjà réalisés.

À côté de cette recherche documentaire, vous devrez faire une étude de terrain qui vous permettra de confronter les notions théoriques aux réalités du terrain. Selon le type de données à collecter (qualitatives ou quantitatives), vous devrez employer une méthode adéquate. Au besoin, faites-vous aider par des camarades, afin d’aller un peu plus vite.

Le respect de la structure est très important lors de la rédaction du mémoire. Certaines universités exigent des étudiants qu’ils rédigent un document selon une certaine structure. En général, elle se présente comme suit :

• La couverture ;
• La page de garde ;
• Les remerciements ;
• Le résumé ;
• Le sommaire ;
• La liste des figures et tableaux ;
• La liste des abréviations ;
• Le glossaire ;
• L’introduction ;
• Le cadre théorique ;
• La partie empirique ;
• Les résultats de recherche ;
• La conclusion ;
• Les recommandations ;
• La postface ;
• La bibliographie ;
• Les annexes.

Une fois toutes ces étapes passées, vous pourrez commencer la rédaction effective de votre mémoire. Nous vous recommandons de toujours commencer par l’introduction. En la rédigeant, assurez-vous de rendre cette partie suffisamment pertinente pour susciter l’intérêt des membres du jury.

Vous pourrez commencer l’introduction par un rappel historique, par une citation, par des chiffres marquants sur un phénomène, etc. Il est extrêmement important de marquer les esprits dès ces premières phrases. Cette partie devra également reformuler et expliquer le sujet de mémoire et son enjeu. Vous présenterez aussi la problématique et les hypothèses de recherche.

Le développement est la partie la plus volumineuse. Vous commencerez par le cadre théorique, avant d’enchaîner avec la partie empirique. Dans cette partie empirique, vous présenterez les différentes données que vous avez relevées sur le terrain. Ces données seront ensuite soumises à une analyse. Pour une meilleure présentation des résultats, nous vous recommandons d’opter pour des diagrammes et figures. Par la suite, quelques commentaires suffiront à les expliquer en détail.

Terminez par une conclusion aussi pertinente que l’introduction. Veillez à répondre aux hypothèses formulées à l’introduction en fonction des résultats de vos différentes analyses.

Après la rédaction du mémoire, vous serez appelé à faire une présentation orale devant un jury constitué par l’université. Le meilleur moyen de préparer cet exposé est de réaliser un PowerPoint plusieurs jours à l’avance. Nous vous recommandons de privilégier les tableaux, figures, diagrammes. À la vue de chaque image, vous pourrez simplement faire une description suivie d’une interprétation. La gestion du stress est primordiale durant la soutenance, alors prenez-y garde.

Rédiger son mémoire en un temps court est loin d’être une tâche facile. Cependant, il existe des moyens d’accélérer la rédaction, afin de la terminer plus rapidement. Vous pouvez notamment :

1. Consulter des modèles sur Internet : Plusieurs sites web proposent des modèles de mémoires sur des thèmes aussi divers que variés. En les consultant, vous pourrez avoir une inspiration qui vous permettra de mieux organiser et de mieux structurer votre travail.
2. Exploiter les bibliothèques en ligne : Il existe de nombreuses plateformes similaires à une bibliothèque sur Internet. C’est notamment le cas de Google Scholar, WorldCat, Studoc, Theses.fr, etc. À travers ces plateformes, vous pourrez facilement trouver des articles scientifiques qui vous aideront à développer votre sujet.
3. Faire appel à l’IA : Vous pouvez notamment faire générer votre texte sur ChatGPT. Vous n’aurez qu’à entrer le sujet, et la plateforme générera un travail rédigé à 100% avec des parties distinctes.
4. Recourir aux services d’une agence de rédaction : L’autre possibilité qui s’offre à vous, c’est de faire appel à des professionnels de ghostwriting comme Memoredaction. Notre plateforme dispose de plusieurs experts ayant un background dans différentes disciplines. Nous serons donc à même de vous produire un mémoire de bonne facture dans des délais très courts.

Au vu des délais relativement courts que vous avez pour terminer votre mémoire, il faut éviter le maximum d’erreurs possibles. Voici quelques-unes à ne pas commettre :

• Choisir un sujet de mémoire trop complexe : Il faut choisir un thème que vous comprenez parfaitement et que vous êtes capable de traiter. Assurez-vous également que la bibliographie relative au sujet est suffisamment fournie et facilement accessible.
• Se fier à tous les articles contenus sur Internet : Il arrive que certains articles publiés sur l’internet s’avèrent obsolètes ou peu fiables. Alors, veillez à consulter des sites fiables.
• Se limiter à des sources d’information secondaires : Essayez d’obtenir le maximum d’informations à la source. Procurez-vous les documents originaux, et lorsqu’il s’agit de chiffres, nous vous recommandons de vous fier à ceux qui sont officiels (communiqués par les autorités publiques)
• Faire trop dé répétitions : Parfois, sans s’en rendre compte, l’on fait beaucoup de répétitions inutiles durant l’écriture. Pour éviter cela, il est nécessaire de faire une relecture à la fin de la rédaction.
• Utiliser des phrases longues et complexes : Nous vous recommandons de faire des phrases courtes et faciles à comprendre même pour le profane.
• Faire la mise en page avant la fin de la rédaction : C’est vraiment une grosse perte de temps. Attendez la fin du mémoire avant de réaliser la mise en page.
• Écrire les références manuellement : Lors de la mise en page, il est possible d’utiliser des styles prédéfinis dans certains logiciels. Cela permet de gagner en temps.

Vous avez désormais toutes les cartes en main pour rédiger le mémoire au dernier moment de manière qualitative. Toutefois, si vous avez besoin d’un accompagnement personnalisé, prenez contact avec notre équipe.